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France
Le premier album acclamé du trio, “Die In Shanghai”, produit par Dan Levy du duo franco-finlandais The Dø, a marqué de façon éclatante et durable la scène pop quelque peu isolée et bien élevée. L’hybride entre le happy-hardcore et la pop a été illustré par une série de clips qui suivaient des groupes de filles à travers le monde, dont le mémorable tube “N.E.M”, qui suivait le style de vie d’un groupe de Peckham-ites.
Depuis leurs débuts, “les oiseaux blancs” ont migré dans toute l’Europe, jouant sur des scènes de la Great Escape, de Liverpool Sound City, du Sziget Festival, des Eurockéennes et des Vieilles Charrues, ainsi qu’en Chine - fidèle à leur nom d’entrée en scène - où ils ont présenté des guitares à toute épreuve, des cavalcades électroniques et du R&B futuriste dans leurs sets live. Puis, depuis un an, Las Aves se sont plongés dans une profonde hibernation, dans les anfractuosités d’un studio parisien. Aujourd’hui, ils reviennent, jaillissant d’eaux roses scintillantes, jonchées de vis argentées et de fragments d’acier en apesanteur, pour aborder - de façon assez radicale, comme trois cupidons en fonte - le thème de l’amour.
Produit par l’électron libre du techno hardcore Lucien Krampf (Casual Gabberz, Oklou) et mixé par le britannique Geoff Swan (Charli XCX - “Pop 2”, “Number 1 Angel”, Grimes - “Art Angels”), le nouvel album “I’ll Never Give Up On Love Until I Can Put A Name On It” surprend par son originalité sans faille, révélant des spectres rave des années 2000, tout en évoquant les lamentations pop cosmétiques des grandes divas américaines.
Pour en savoir plus : https://lasavesofficial.com/
Nous aimons l'idée de cacher l'humour dans le drame... en faisant des sucettes roses lacées au mercure.Las Aves
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