Morceau
Vingt ans… Quel bel âge! Léo Ferré celèbre ici la jeunesse dans ce qu’lle a d’insouciant et de rebelle. Celui dont on parle comme du chantre de mai 68 chante un texte poétique dont la solennité ne contredit pas son sarcasme habituel, moquant toujours la respectabilité et la “bien pensance” de la société. Le chant, mi-incantatoire, mi-romantique, s’accompagne d’une nappe de voix cristalline. Le “chabada” de la batterie (au charley et balais), le piano et la contrebasse se confondent dans une atmosphère jazzy envoûtante, et nous rappellent avec nostalgie le bonheur que d’avoir vingt ans.
Pour tout bagage on a vingt ans On a l'expérience des parents On se fout du tiers comme du quart On prend l'bonheur toujours en r'tard Quand on aime c'est pour toute la vie Cette vie qui…
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