Morceau
C’est une valse, rythme idéal pour narrer l’histoire d’un homme confronté à l’incertitude du destin. Où va-t-il donc atterrir, ce pauvre hère soudain mis à la rue par la vie? Qui se retrouve seul, dans une ville inconnue? Il erre, il espère. Pour ce jeune rapatrié d’Algérie, la rencontre avec la capitale sera heureusement féconde. Les quatre premiers vers sont exprimés dans des mots très simples. Et c’est précisément de là que vient leur force.
J'allais le long des rues Comme un enfant perdu J'étais seul j'avais froid Toi Paris tu m'as pris dans tes bras Je ne la reverrai pas La fille qui m'a souri Elle s'est seulement retournée et…
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