Morceau
Si l’amour ne tue pas, il blesse. Voilà, ce que Robi chante. Accompagnée de quelques notes de synthé, d’une rythmique lancinante, l’artiste dévoile les secrets, pas si méconnus, des relations passionnelles. Le refrain, d’un cruel minimalisme, est une bouée de sauvetage dans cet océan de tristesse et d’amertume. Bien moins abstrait et poétique que les couplets, la répétition de l’adage, « On ne meurt plus d’amour », apparaît comme le seul moyen de tenir dans cette tempête de regrets. On s’y accroche, pour ne plus penser aux erreurs commises et à celles que nous commettrons à nouveau. Entre mélancolie et fatalité, Robi offre un titre sous forme d’exutoire, nous rappelant que le sentiment amoureux est volatile, mais que nous sommes souvent incapables d’en tirer une quelconque leçon.
J'avance nue Mes larmes brûlent Je me relève Au levant Un peuple est seul Ceux qui me veulent M'auront Autant qu'avant J'ai rien appris Rien chaque fois Sinon qu'on n'en meurt pas Sinon…
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