Morceau
Enregistrée juste après les révoltes étudiantes et ouvrières de Mai-68, cette chanson se moque de celles et ceux qui, pour sauver leur peau, sont prêts à renier tous leurs principes. Les premiers visés par Jacques Dutronc sont ici les hommes politiques soufflent un jour le chaud et le lendemain le froid et feraient n’importe quoi pour rester aux commandes. Sur une mélodie enjouée, Dutronc et son parolier Lanzmann signent une critique acide et truffée de jeux de mots d’une société minée par les ambitieux.
Je suis pour le communisme Je suis pour le socialisme Et pour le capitalisme Parce que je suis opportuniste Il y en a qui contestent Qui revendiquent et qui protestent Moi je ne fais qu'un…
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