Morceau
Avec cette reprise en français de la chanson « Il ragazzo della via Gluck » du rockeur italien Adriano Celentano, Françoise Hardy chante en 1966 la nostalgie de l’enfance. La maison devient le symbole du refuge, des souvenirs heureux figés. Or, et c’est aussi là toute la beauté de cette chanson, nous sommes dans les années 60, l’ère moderne bat son plein, et la maison n’est plus, engloutie par la ville. Impossible de faire machine arrière pour la jeune adulte que Françoise est devenue, qui rêverait de rejouer dans son jardin comme à ses huit ans. Seuls restent les souvenirs…
Quand je me tourne vers mes souvenirs Je revois la maison où j'ai grandi Il me revient des tas de choses Je vois des roses dans un jardin Là où vivaient des arbres, maintenant La ville est…
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