Morceau
Mélodie entraînante. Refrain qui reste dans la tête. C’est avec un humour pinçant et une humeur enjouée qua Nicolas Peyrac nous raconte avec une pointe de nostalgie les années 1950, dans un monde d’après-guerre où l’économie repart, les trente glorieuses n’en finissent pas de sourire et la consommation démarre sur les chapeaux de roue. Cette période de l’histoire, le petit Nicolas ne l’a pas connue. En revanche, son père, lui, en a été témoin. Passant en revue les figures qui marquèrent ces années-là, Peyrac rend hommage à son père en le glissant subtilement dans le texte. Le curieux mélange des personnages, tous mis au même plan, y compris son père, avait fait grincer quelques dents à l’époque de sa sortie.
Quand vous dansiez en ce temps-là Pas besoin de pédale wah-wah. C'était pas la bossa nova Mais ça remuait bien déjà. Les caves étaient profondes Et la ronde Ne s'arrêtait pas. Un vieux piano…
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